作曲 : Solans, Solo | |
Il fait beau au soleil sur le pont | |
Je regarde les gitans de l'autre côté du port | |
Ils sont beaux d'ici je ne vois pas leur tête | |
Ils sont juste beaux d'être | |
Tous ensemble devant leurs caravanes | |
À s'agiter autour de leur conversation | |
Ils doivent parler très fort | |
J'en entends des bribes par dessus le bruit des voitures | |
Leur présence rayonne sur le port | |
On sent qu'ils existent très fort | |
C'est pas comme l'autre qui vient avec sa Porsche | |
Surveiller son petit voilier | |
Ni même comme les clodos du pont | |
Qui eux rayonnent la résignation d'ailleurs ils sont partis | |
Peut-être bien à cause des gitans | |
Une petite boule rouge s'active autour du groupe | |
Elle tient un balai qui fait deux fois sa taille | |
Elle fait des pas immenses et secs | |
Et le manche virevolte au dessus de sa tête | |
Elle paraît chargée d'électricité | |
D'ici sa robe lui tombant jusqu'aux pieds | |
M'apparaît comme un cerf-volant | |
Frétillant dans le soleil de printemps | |
Je t'avais peint ce tableau avec des mots | |
Mais j'ai gardé pour moi cette lettre | |
Cette journée qui m'ouvrait sa fenêtre |
zuo qu : Solans, Solo | |
Il fait beau au soleil sur le pont | |
Je regarde les gitans de l' autre c te du port | |
Ils sont beaux d' ici je ne vois pas leur t te | |
Ils sont juste beaux d' tre | |
Tous ensemble devant leurs caravanes | |
À s' agiter autour de leur conversation | |
Ils doivent parler tre s fort | |
J' en entends des bribes par dessus le bruit des voitures | |
Leur pre sence rayonne sur le port | |
On sent qu' ils existent tre s fort | |
C' est pas comme l' autre qui vient avec sa Porsche | |
Surveiller son petit voilier | |
Ni m me comme les clodos du pont | |
Qui eux rayonnent la re signation d' ailleurs ils sont partis | |
Peut tre bien a cause des gitans | |
Une petite boule rouge s' active autour du groupe | |
Elle tient un balai qui fait deux fois sa taille | |
Elle fait des pas immenses et secs | |
Et le manche virevolte au dessus de sa t te | |
Elle para t charge e d'e lectricite | |
D' ici sa robe lui tombant jusqu' aux pieds | |
M' appara t comme un cerfvolant | |
Fre tillant dans le soleil de printemps | |
Je t' avais peint ce tableau avec des mots | |
Mais j' ai garde pour moi cette lettre | |
Cette journe e qui m' ouvrait sa fen tre |
zuò qǔ : Solans, Solo | |
Il fait beau au soleil sur le pont | |
Je regarde les gitans de l' autre c té du port | |
Ils sont beaux d' ici je ne vois pas leur t te | |
Ils sont juste beaux d' tre | |
Tous ensemble devant leurs caravanes | |
À s' agiter autour de leur conversation | |
Ils doivent parler trè s fort | |
J' en entends des bribes par dessus le bruit des voitures | |
Leur pré sence rayonne sur le port | |
On sent qu' ils existent trè s fort | |
C' est pas comme l' autre qui vient avec sa Porsche | |
Surveiller son petit voilier | |
Ni m me comme les clodos du pont | |
Qui eux rayonnent la ré signation d' ailleurs ils sont partis | |
Peut tre bien à cause des gitans | |
Une petite boule rouge s' active autour du groupe | |
Elle tient un balai qui fait deux fois sa taille | |
Elle fait des pas immenses et secs | |
Et le manche virevolte au dessus de sa t te | |
Elle para t chargé e d'é lectricité | |
D' ici sa robe lui tombant jusqu' aux pieds | |
M' appara t comme un cerfvolant | |
Fré tillant dans le soleil de printemps | |
Je t' avais peint ce tableau avec des mots | |
Mais j' ai gardé pour moi cette lettre | |
Cette journé e qui m' ouvrait sa fen tre |