Comme un enfant tu meurs à moitié maintenant | |
Tu classes tes mouches dedans. | |
Sans un geste acclames ta peste qu’elle finisse assise | |
Dans ta tête tu pues le vide et la pisse | |
Oui, Alois est éprise | |
Alois est avide, polarise | |
Cette hyène obscène de plus se divise | |
Je sais qu’elle est en toi, je sais. | |
Ta meilleure amie | |
Dégénérative te conduit au lit | |
Le dernier jour ton âme sœur te croquera le cœur | |
Si tu as peur lentement je ferais tourner l’heure | |
Il est trop tard. | |
Anamnésis de toi à chaque repas du soir | |
L’attachée se goinfre de l’empire du savoir. | |
Ton nez souffle l’humeur baveuse | |
Comme une houle crémeuse je suis nauséeuse. | |
Boisson aux mille leçons, quand le cartilage cède | |
Le liquide à méninges régale les anciens petits singes. | |
Imite moi, refais moi, lèche ta vie finis la. | |
Cérebellum tourne moi | |
Cérebellum ouvre toi | |
Cérebellum tourne sur lui même | |
Cérebellum. | |
A quoi tu penses ? Vers qui tu chantes ? Quels sont ces gens qui te hantent ? | |
Les déserts t’ouvrent leurs portes closes | |
Les puits sèchent dans ta tête. | |
Demain tu m’oublieras encore, une nouvelle histoire pour un nouveau jour et toujours les mêmes mots dans ta bouche, un nouveau visage pour… | |
Une même personne, une nouvelle voix pour une même parole, chaque seconde t’abandonne à ta convection encéphale. | |
Mal caduc, mal sacré, chaque point chaud inonde le fond de tes yeux, | |
Orage cérébral pour toi l’otage mental. | |
L’éternité est imminente. | |
Le temps urgent te fait maintenant suspendre | |
Attends-tu le silence ? | |
Comment savoir, ton regard me parle à peine. | |
Comment savoir quand tout s’efface et recommence. | |
Comment savoir, ton regard me parle à peine. |
Comme un enfant tu meurs a moitie maintenant | |
Tu classes tes mouches dedans. | |
Sans un geste acclames ta peste qu' elle finisse assise | |
Dans ta t te tu pues le vide et la pisse | |
Oui, Alois est e prise | |
Alois est avide, polarise | |
Cette hye ne obsce ne de plus se divise | |
Je sais qu' elle est en toi, je sais. | |
Ta meilleure amie | |
De ge ne rative te conduit au lit | |
Le dernier jour ton me s ur te croquera le c ur | |
Si tu as peur lentement je ferais tourner l' heure | |
Il est trop tard. | |
Anamne sis de toi a chaque repas du soir | |
L' attache e se goinfre de l' empire du savoir. | |
Ton nez souffle l' humeur baveuse | |
Comme une houle cre meuse je suis nause euse. | |
Boisson aux mille le ons, quand le cartilage ce de | |
Le liquide a me ninges re gale les anciens petits singes. | |
Imite moi, refais moi, le che ta vie finis la. | |
Ce rebellum tourne moi | |
Ce rebellum ouvre toi | |
Ce rebellum tourne sur lui m me | |
Ce rebellum. | |
A quoi tu penses ? Vers qui tu chantes ? Quels sont ces gens qui te hantent ? | |
Les de serts t' ouvrent leurs portes closes | |
Les puits se chent dans ta t te. | |
Demain tu m' oublieras encore, une nouvelle histoire pour un nouveau jour et toujours les m mes mots dans ta bouche, un nouveau visage pour | |
Une m me personne, une nouvelle voix pour une m me parole, chaque seconde t' abandonne a ta convection ence phale. | |
Mal caduc, mal sacre, chaque point chaud inonde le fond de tes yeux, | |
Orage ce re bral pour toi l' otage mental. | |
L'e ternite est imminente. | |
Le temps urgent te fait maintenant suspendre | |
Attendstu le silence ? | |
Comment savoir, ton regard me parle a peine. | |
Comment savoir quand tout s' efface et recommence. | |
Comment savoir, ton regard me parle a peine. |
Comme un enfant tu meurs à moitié maintenant | |
Tu classes tes mouches dedans. | |
Sans un geste acclames ta peste qu' elle finisse assise | |
Dans ta t te tu pues le vide et la pisse | |
Oui, Alois est é prise | |
Alois est avide, polarise | |
Cette hyè ne obscè ne de plus se divise | |
Je sais qu' elle est en toi, je sais. | |
Ta meilleure amie | |
Dé gé né rative te conduit au lit | |
Le dernier jour ton me s ur te croquera le c ur | |
Si tu as peur lentement je ferais tourner l' heure | |
Il est trop tard. | |
Anamné sis de toi à chaque repas du soir | |
L' attaché e se goinfre de l' empire du savoir. | |
Ton nez souffle l' humeur baveuse | |
Comme une houle cré meuse je suis nausé euse. | |
Boisson aux mille le ons, quand le cartilage cè de | |
Le liquide à mé ninges ré gale les anciens petits singes. | |
Imite moi, refais moi, lè che ta vie finis la. | |
Cé rebellum tourne moi | |
Cé rebellum ouvre toi | |
Cé rebellum tourne sur lui m me | |
Cé rebellum. | |
A quoi tu penses ? Vers qui tu chantes ? Quels sont ces gens qui te hantent ? | |
Les dé serts t' ouvrent leurs portes closes | |
Les puits sè chent dans ta t te. | |
Demain tu m' oublieras encore, une nouvelle histoire pour un nouveau jour et toujours les m mes mots dans ta bouche, un nouveau visage pour | |
Une m me personne, une nouvelle voix pour une m me parole, chaque seconde t' abandonne à ta convection encé phale. | |
Mal caduc, mal sacré, chaque point chaud inonde le fond de tes yeux, | |
Orage cé ré bral pour toi l' otage mental. | |
L'é ternité est imminente. | |
Le temps urgent te fait maintenant suspendre | |
Attendstu le silence ? | |
Comment savoir, ton regard me parle à peine. | |
Comment savoir quand tout s' efface et recommence. | |
Comment savoir, ton regard me parle à peine. |