Si on partait prendre l'air et tout ce ciel qu'on a perdu Où la beauté nous appartient, où le silence nous plaît bien Où d'autres marchands d'horizons, d'autres marchands de saisons Où la pensée n'est par certaine, si on y partait quand même Si on partait Prendre l'air prendre l'air où soufflent les voiles Prendre l'air prendre l'air où soufflent les voyages Les saisons pas d'hiver, les heures passent à l'envers Prendre l'air prendre l'air, j'ai plus le temps d'hier, temps d'hier Si on partait prendre l'air, là juste le temps d'apprendre Que notre liberté se perd dans trop de peurs immenses Quand la nuit nous accompagne vers d'autres murs, d'autres montagnes Si on partait pour l'important, on peut y penser maintenant Si on partait Prendre l'air prendre l'air où soufflent les voiles Prendre l'air prendre l'air où soufflent les voyages Les saisons pas d'hiver, les heures passent à l'envers Prendre l'air prendre l'air, j'ai plus le temps d'hier, temps d'hier Si on partait prendre l'air, le ciel qui nous appartient Si on partait pour l'important, on peut y penser maintenant Si on partait Prendre l'air prendre l'air, plus rien ne nous arrête Prendre l'air prendre l'air, plus rien ne nous fait croire Les saisons n'ont pas d'hiver, les jours passent à l'envers Prendre l'air prendre l'air, j'ai plus le temps d'hier, temps d'hier Prendre l'air prendre l'air, prendre l'air prendre l'air Les saisons n'ont pas d'hiver, les jours passent à l'envers Prendre l'air prendre l'air