Lambert Wilson - Le Tourbillon Elle avait des bagues à chaque doigt, Des tas de bracelets autour des poignets, Et puis elle chantait avec une voix Qui, sitot, m'enjola. Elle avait des yeux, des yeux d'opale, Qui me fascinaient, qui me fascinaient. Y avait l'ovale de son visage pale De femme fatale qui m'fut fatale De femme fatale qui m'fut fatale On s'est connus, on s'est reconnus, On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue On s'est retrouvés, on s'est réchauffés, Puis on s'est séparés. Chacun pour soi est reparti. Dans l'tourbillon de la vie Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie Ca fait déjà un fameux bail Ca fait déjà un fameux bail Au son des banjos je l'ai reconnue. Ce curieux sourire qui m'avait tant plu. Sa voix si fatale, son beau visage pale M'émurent plus que jamais. Je me suis soulé en l'écoutant. L'alcool fait oublier le temps. Je me suis réveillé en sentant Des baisers sur mon front brulant Des baisers sur mon front brulant On s'est connus, on s'est reconnus. On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue On s'est retrouvés, on s'est séparés. Dans le tourbillon de la vie. Chacun pour soi est reparti. Dans l'tourbillon de la vie. Je l'ai revue un soir ah là là Elle est retombée dans mes bras. Elle est retombée dans mes bras. Quand on s'est connus, Quand on s'est reconnus, Pourquoi se perdre de vue, Se reperdre de vue ? Quand on s'est retrouvés, Quand on s'est réchauffés, Pourquoi se séparer ? Alors tous deux on est repartis Dans le tourbillon de la vie On à continué à tourner Tous les deux enlacés Tous les deux enlacés. Tous les deux enlacés. fin