作词 : Martin Poulin-Légaré 作曲 : Martin Poulin-Légaré/Gabriel Lapierre Je dis au monde entier et aux planètes qui se trouvent en toi, qui se trouvent en moi, vraiment près du nez Que l’enfer inventé, ses immenses mains posées, c’est tout le contraire de la mort, se cache en elle un coeur d’or Les amours décalissés, entachent l’hôtel de la Judée, de tous les pays où on abouti au fil de nos vies Si jamais en 100 ans, si jamais on s’entend, les plantes, les feuilles au courant, recouvrent la ville tel l’amant Ce n’est pas tout de briser le courant, faut tenir tête et gérer le gênant Se garder tout au fond de nous un endroit complexe par moment Je dis au monde entier et aux planètes qui se trouvent en toi, qui se trouvent en moi, vraiment près du nez Que l’enfer inventé, ses immenses mains posées, c’est tout le contraire de la mort, se cache en elle un coeur d’or Les amours décalissés, entachent l’hôtel de la Judée, de tous les pays où on abouti au fil de nos vies Si jamais en 100 ans, si jamais on s’entend, les plantes, les feuilles au courant, recouvrent la ville tel l’amant Au final c’est correct comme ça, parfois les gens ne comprennent pas Ce n’est pas tout de choisir ses combats, tu es malade et seul selon moi