Dimanche

Song Dimanche
Artist Grégoire
Album Expériences

Lyrics

作词 : Gregoire Boissenot
作曲 : Gregoire Boissenot
Y'a des feuilles qui tombent et qui annoncent l’hiver,
y a pas beaucoup de monde, tout est presque désert,
on croise quelques chiens qui promènent leurs maitres,
on voit quelques lumières au travers des fenêtres,
c’est la fin de l’automne et c’est le froid qui règne,
les parcs sont monotones les réverbères s’éteignent,
les enfants sûrement lentement se réveillent,
on est bien mieux au lit quand y a peu de soleil,
on est dimanche
et y a toujours ton vent qui se perd dans mes branches,
toujours ton souvenir qui revient, tout recommence,
toujours mon coeur qui lentement retourne en enfance,
sans résistance,
on est dimanche
et c’est le jour où ma douleur prend sa revanche,
moi qui croyais avoir mérité sa clémence,
la voilà à grands coups de larmes et de violence
dans mes silences,
on est dimanche
et j’ai le manque de toi qui tombe en avalanche
car tu n’m’as pas quitté depuis tu peux me faire confiance,
y en a des nuits où je dors pas dans ton absence
sans ta présence,
t’es mon dimanche,
t’es mon cri sourd qu’on n’entend pas, mon mal aux hanches,
t’es le pourquoi je n’souris qu’en intermittence,
t’es comme une béquille, comme un poids, comme une carence,
une dépendance,
t’es mon dimanche,
jamais de hauts plus hauts qu’les bas, t’es ma vie blanche,
j’voudrais tellement qu’tu sois là dans mes confidences,
qu’tu voies ma femme et mes enfants, mes bouts de chance,
mes insouciances,
y a des feuilles qui tombent et qui annoncent l’hiver,
y a pas beaucoup de monde, tout est presque désert,
on croise quelques chiens qui promènent leurs maitres,
on voit quelques lumières au travers des fenêtres.

Pinyin

zuò cí : Gregoire Boissenot
zuò qǔ : Gregoire Boissenot
Y' a des feuilles qui tombent et qui annoncent l' hiver,
y a pas beaucoup de monde, tout est presque dé sert,
on croise quelques chiens qui promè nent leurs maitres,
on voit quelques lumiè res au travers des fen tres,
c' est la fin de l' automne et c' est le froid qui rè gne,
les parcs sont monotones les ré verbè res s'é teignent,
les enfants s rement lentement se ré veillent,
on est bien mieux au lit quand y a peu de soleil,
on est dimanche
et y a toujours ton vent qui se perd dans mes branches,
toujours ton souvenir qui revient, tout recommence,
toujours mon coeur qui lentement retourne en enfance,
sans ré sistance,
on est dimanche
et c' est le jour où ma douleur prend sa revanche,
moi qui croyais avoir mé rité sa clé mence,
la voilà à grands coups de larmes et de violence
dans mes silences,
on est dimanche
et j' ai le manque de toi qui tombe en avalanche
car tu n' m' as pas quitté depuis tu peux me faire confiance,
y en a des nuits où je dors pas dans ton absence
sans ta pré sence,
t' es mon dimanche,
t' es mon cri sourd qu' on n' entend pas, mon mal aux hanches,
t' es le pourquoi je n' souris qu' en intermittence,
t' es comme une bé quille, comme un poids, comme une carence,
une dé pendance,
t' es mon dimanche,
jamais de hauts plus hauts qu' les bas, t' es ma vie blanche,
j' voudrais tellement qu' tu sois là dans mes confidences,
qu' tu voies ma femme et mes enfants, mes bouts de chance,
mes insouciances,
y a des feuilles qui tombent et qui annoncent l' hiver,
y a pas beaucoup de monde, tout est presque dé sert,
on croise quelques chiens qui promè nent leurs maitres,
on voit quelques lumiè res au travers des fen tres.