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zuò cí : Doz1jee |
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zuò qǔ : Doz1jee |
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Elle fait sa belle, elle a tout pour sé duire |
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Elle sait prendre toutes les formes, quitte à se travestir |
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Tu la connais pourtant, on t' a vanté ses dé g ts |
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Mais convaincu de pouvoir t' en dé faire tu fonces dans l' tas |
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Tu la maitrises ouais, du moins t' as l' impression |
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Elle te laisse toujours croire qu' elle est l' extase sans conditions |
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Elle se cache timal, derriè re son coté cool |
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Elle sait aussi se changer en tradition nationale |
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Elle est fun, millé naire, ou ré volutionnaire |
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Elle est chimique, naturelle, ou simplement dans l' air |
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Tranquillement, à tes coté s elle impose sa place |
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Elle te dé passe, trè s souvent elle est la cause de tes angoisses |
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Elle taille dans l' vif, elle fait le vide autour de toi |
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Elle n' est pas responsable du fait que les gens ne la comprennent pas |
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Elle te serre progressivement, elle te broie entre ses doigts |
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Tu courbes l'é chine docilement pour encaisser ses tourments |
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Et malgré a impassible, tu parles de plaisir |
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Tu la dé fends bec et ongle comme si elle pouvait encore te faire jouir |
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Quand ses caresses de ses griffes, te lacè rent l' existence |
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Elle te met les nerfs à vif et toujours tu prends sa dé fense |
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Tu es à elle, mais maintenant tu t' en branles |
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Elle semble dé sormais tre la seule à pouvoir te comprendre |
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Ta vie tourne autour d' elle, et c' est tellement pratique |
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Le vide qu' elle a créé n' est plus problé matique |
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Ta vie tourne autour d' elle |
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Mais ta t te elle ne tourne plus |
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Elle te tuera à petit feu |
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Si tu n' prend pas l' dessus |
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Ta vie tourne autour d' elle |
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Mais ta tè te elle ne tourne plus |
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Elle est ta dé pendance |
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Un vice vissé dans ta vertu |
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Depuis tout jeune, on ta vanté ses mé rites |
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Des hommes se sont battus pour en repousser les limites |
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On la dit qu' elle est acquise, exclusive universelle |
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On l' agite sous ton nez comme un pantin dont on tire les ficelles |
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Elle est inhé rente au peu de choix qu' on te laisse |
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On l' a appelé dé mocratie mais la ou le bas blesse |
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C' est que ses formes, gé né reuses, sont pour toi intouchables |
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On t' a lié à ta chaise alors qu' elle danse sur la table |
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Comme une putain... |
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On donne de grandes le ons de tolé rance et de respect, |
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Et pour nos soit disant modè les pas de procè s |
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On peut tout dire, tout faire et ne pas tre inquié té |
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De toute fa on quoi qu' ils fassent se sera en toute impunité |
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Elle est la liberté, celle de devoir se conformer |
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Elle est en file, bien rangé et rien n' dois dé passer |
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Quand le cor sonne, c' est la curé e des vé neries pour tous les chiens |
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Et les cons sortent quand leurs consorts ne laissent que les os aux terriens |
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Car on en est tous c' est un fait, de simples bons a rien |
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Qu' on presse a satié té la paix sociale c' est pour ton bien |
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Il faudra juste, calquer ses idé os |
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Sur un modè le de pensé e qui ne mette pas en danger ceux d' en haut |
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Les financiers, les dé cideurs, les gouverneurs de l' ombre |
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Tous ceux pour qui rien n' est pas monnayable en ce bas monde |
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Consomme, ducon, responsable de la crise |
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Tout est ta faute si t' es plus pauvre, si t' y a laissé ta chemise... |
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Tais toi, t' es plus toi, |
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Ta t te tourne trop vite |
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Ré flé chir n' est pas bon |
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Laissons la mouche derriè re sa vitre |
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Tais toi, t' es plus toi |
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Ta t te tourne trop vite |
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On pré fè re te droguer |
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Et toi tu pré fè re faire le pitre |