Le Rendez-vous

Song Le Rendez-vous
Artist Housse De Racket
Album Forty Love

Lyrics

Au royaume des fous, j'ai laissé ma raquette,
maintenant je t'attend, toi, ma future conquête.
Tu me diras salut, je te dirais ça va?
Tu me feras 2 bises, et moi, j'en voudrai 3.
Un quart d'heure c'est comme un quart de siècle,
comme une étoile dans le ci...
Tiens il pleut et jn'ai pas d'imper.
Mes chocolats ramolissent, il n'ont pas de convercle.
Je suis seul avec moi-même et mon lampadaire.
Une heure de retard, ça devient louche;
je vais manger un chocolat, ça sera toujours ça de fait.
Enfin au loin une sombre silhouette apparait.
Vite un chewing gum c'est pour ma bouche.
Et dans un élan aussi brusque que soudain
je me lance vers elle et je lui tends la main,
mais sa poubelle vient troubler ce tableau serein,
je me prend la décharge de la jambe nicolin.
Une odeur forte imprègne désormais mes vêtements.
J'ai mal à la tête, je veux de l'efferalgan.
Merde, j'ai mangé tous les chocolats!
Soudain, un spasme vomitif me rappelle à l'ordre.
Ca faisait trop de cacao dans mon estomac.
Un chien moribond essaye alors de me mordre:
j'repousse le cleps, il s'en va avec ma chaussure.
Sur mon banc je sombre, m'effondrant dans mes ordures.
J'ai attendu toute la nuit,
sur ce banc je me suis endormi.
Je dois avoir bien triste allure costard froissé,
bouquet fanné, une seule chaussure.
Au réveil une foule de passants me dévisage.
Certains généreux donnent même le sou à ce qu'ils croient être un paumé mort saoul.
M'aborde alors un mendiant hors d'âge: "Eh nouveau, tu veux de la bibine?".
"Nan, j'attend Gwendoline".
Je dois repartir, je dois changer.

Pinyin

Au royaume des fous, j' ai laissé ma raquette,
maintenant je t' attend, toi, ma future conqu te.
Tu me diras salut, je te dirais a va?
Tu me feras 2 bises, et moi, j' en voudrai 3.
Un quart d' heure c' est comme un quart de siè cle,
comme une é toile dans le ci...
Tiens il pleut et jn' ai pas d' imper.
Mes chocolats ramolissent, il n' ont pas de convercle.
Je suis seul avec moim me et mon lampadaire.
Une heure de retard, a devient louche
je vais manger un chocolat, a sera toujours a de fait.
Enfin au loin une sombre silhouette apparait.
Vite un chewing gum c' est pour ma bouche.
Et dans un é lan aussi brusque que soudain
je me lance vers elle et je lui tends la main,
mais sa poubelle vient troubler ce tableau serein,
je me prend la dé charge de la jambe nicolin.
Une odeur forte imprè gne dé sormais mes v tements.
J' ai mal à la t te, je veux de l' efferalgan.
Merde, j' ai mangé tous les chocolats!
Soudain, un spasme vomitif me rappelle à l' ordre.
Ca faisait trop de cacao dans mon estomac.
Un chien moribond essaye alors de me mordre:
j' repousse le cleps, il s' en va avec ma chaussure.
Sur mon banc je sombre, m' effondrant dans mes ordures.
J' ai attendu toute la nuit,
sur ce banc je me suis endormi.
Je dois avoir bien triste allure costard froissé,
bouquet fanné, une seule chaussure.
Au ré veil une foule de passants me dé visage.
Certains gé né reux donnent m me le sou à ce qu' ils croient tre un paumé mort saoul.
M' aborde alors un mendiant hors d' ge: " Eh nouveau, tu veux de la bibine?".
" Nan, j' attend Gwendoline".
Je dois repartir, je dois changer.